Immersion Communautaire

Le Congrès de l'Immersion Communautaire (IMCO) clôt le module "Immersion communautaire" du programme de médecine dispensé par la Faculté de biologie et de médecine de l'Université de Lausanne. ​​Les étudiantes et étudiants en fin de 3ème année sont amenés à réaliser un travail de terrain sur une thématique de santé de leur choix: des tutrices et tuteurs les guident dans la réalisation de leurs travaux. Les meilleurs travaux se voient décerner un prix attribué par l'un des organismes de soutien du congrès.

En collaboration avec la Haute École de la Santé (La Source) et avec la collaboration de la Faculté des sciences sociales et politiques de l’Université de Lausanne.  

2021
Les mesures restrictives de la pandémie de Covid-19 ont drastiquement affecté la population générale et les personnes à mobilité réduite (pmr) du point de vue physique et psychologique.
2021
« "On ne fait pas de décès par FaceTime ou par Skype". Cette phrase lancée par un responsable d’EMS pose les bases d’une situation sensible. Les proches de personnes en fin de vie peuvent-ils en période de pandémie aller leur dire adieu ? »
2021
Lors de l’annonce du confinement en mars 2020, certains experts s’attendaient à un babyboom (7,9) en raison de la promiscuité des couples à la maison. Or, selon de récentes données, une diminution des grossesses au CHUV fin 2020 et début 2021 est observée
2021
Il a été constaté que les personnes âgées (PA) ont été mises de côté durant cette pandémie sous plusieurs aspects tels que les mesures prises par les autorités l’ont été au terme de réflexions pouvant être considérées comme « paternalistes » à l’égard des aînés
2021
Le SARS-CoV-2 a fait émerger davantage les diverses disparités au sein de la société. L’état de santé d’une personne est modulé par son statut socio-économique, la rendant plus ou moins vulnérable.
2021
Dans notre société moderne, l’accès aux soins est un besoin fondamental. Pourtant, des études menées en Italie, mais ailleurs également, ont pu démontrer une diminution de 30% des consultations aux urgences en mars 2020, ainsi qu’une diminution du nombre d’infarctus du myocarde diagnostiqués.
2021
La pandémie de COVID-19, et le premier confinement (mars 2020), ont eu des répercussions majeures sur les systèmes de santé, incluant le suivi des femmes enceintes. Celles-ci étaient potentiellement à risque de complications, par analogie à ce qui avait été démontré lors des précédentes épidémies de coronavirus.
2021
La pandémie COVID a touché le thème du deuil d’une part par le nombre de décès qu’elle a causé et d’une autre de par les mesures sanitaires qu’elle a engendrées.
2021
Depuis l’émergence du VIH dans les années 1980, les programmes de promotion de la santé et de prévention ont contribué positivement à la santé des HSH suisses. Cependant, l’apparition du COVID-19 au printemps 2020 a représenté un obstacle à la lutte contre le VIH.
2021
Dans le contexte de pandémie de COVID-19, le confinement instauré en mars 2020 avait pour but premier de limiter la propagation du virus et de protéger la population. Cependant, il a occasionné de nombreux dommages collatéraux, notamment la dégradation de la qualité de vie des personnes considérées comme âgées, c'est-à-dire de plus de 65 ans, et ce, de façon très inégale.
2021
En Europe, la prématurité est responsable de 75% des décès périnataux (1). La Suisse n’est pas épargnée de ce problème de santé publique, avec 6,7% des bébés qui naissent trop tôt.
2021
L’hésitation vaccinale, refus ou retard dans l’acceptation des vaccins malgré leur disponibilité, est un phénomène complexe et multifactoriel.
2021
La population transgenre, représentant jusqu’à environ 2 % de la population suisse, est souvent sujette à des discriminations, y compris dans le système médical. Cela peut mener à une mauvaise prise en charge de ces personnes par les soignant.e.s ou même les mener à ne plus consulter alors qu’elles en auraient besoin.
2021
Les détenues, majoritairement étrangères, exécutent le plus souvent des peines de courte durée pour des délits non violents. Représentant une minorité de 4% de la population carcérale, elles se retrouvent dans des locaux androcentrés qui ne répondent pas à leurs besoins spécifiques
2021
La transidentité est le fait d’avoir une identité de genre différente du sexe assigné à la naissance. Récemment, plusieurs travaux ont permis de dévoiler une incohérence entre l’augmentation de cette population (0,3-2% de la population générale) et les moyens de prise en charge se développant trop lentement.
2021
"Le terme « Intersexe » désigne, selon l’ONU, toute personne née avec des caractéristiques sexuelles ne correspondant pas à la classification typique de mâle ou femelle. Bien que débattue, la prévalence de l’intersexualité est estimée à 1.7% de la population. La prise en charge commune de ces variations du développement sexuel est la chirurgie d’assignation de sexe, qui consiste à « normaliser » les parties génitales de l’enfant considérées atypiques. Pratiquées de manière précoce à plus large échelle dans les années 50 à 90, ces opérations et leur légitimité sont remises en cause par les patients, dénonçant la violation de leurs droits fondamentaux ainsi que les répercussions physico-psychiques lourdes liées à ces procédures."
2021
L’intersexuation concerne des personnes qui naissent avec des caractéristiques sexuelles, qu’elles soient génitales, gonadiques, chromosomiques ou hormonales, qui ne correspondent pas aux définitions binaires typiques des corps masculins ou féminins. Elle touche jusqu’à 1.7% de la population.
2021
La question de l’identité de genre chez les jeunes est une thématique actuelle et le personnel soignant apprend à l’intégrer à sa pratique. Les personnes transgenres, qui sont des personnes dont le sexe assigné à la naissance ne correspond pas au genre auquel iels s’identifient, représentent entre 0.3 et 2% de la population et les articles mentionnant la prise en charge des jeunes transgenres affirment que celle-ci bénéficie du fait d’être ouverte et non jugeante, d’autant plus que ces adolescent·e·s sont plus à risque psychologique, social et comportemental (dépression, abus de substance, harcèlement).
2021
Ces dernières années, la question de la transidentité, étant une inadéquation persistante entre le genre assigné à la naissance et le genre ressenti par la personne, est devenue plus visible grâce à une libération de la parole. Bien que la nouvelle édition de l’International Statistical Classification of Diseases and Related Health Problems (ICD) déleste la transidentité du poids de la maladie mentale, de nombreux pays la considèrent encore comme une pathologie.
2021
En 2018, sur environ 3’030 stomies effectuées en Suisse, un tiers étaient définitives et selon les estimations, 20’000 personnes vivent actuellement avec. Cette condition touche donc une part non négligeable de la population et a un impact majeur sur la qualité de vie.